vendredi 28 octobre 2022

Ce poulailler qui m'a changé la vie !

Si vous me suivez sur Youtube ou sur les réseaux sociaux, vous savez probablement déjà que le plastique n'est pas ma tasse de thé. Outre son côté polluant, il est issu de la pétrochimie, et j'estime qu'il est urgent de surveiller notre consommation de pétrole... cependant, le plastique est partout autour de nous, et force est de reconnaître qu'il rend souvent de précieux services : facile d'entretien, plus durable et résistant aux intempéries que le bois pour les installations extérieures, je consens parfois à l'utiliser lorsque les avantages surpassent les inconvénients. 

Ainsi, la bâche de ma serre tunnel est évidemment en plastique, de même que les planchers de mes ruches... plus récemment, je me suis laissée convaincre d'opter pour le plastique pour mes poulailler, non seulement pour la facilité de nettoyage, mais surtout et avant tout pour la gestion des parasites, notamment les tristement célèbres poux rouges

Un investissement qui m'a changé la vie, au point que je vais, dès que possible, remplacer tous mes poulaillers bois par ces poulaillers en plastique proposés par la marque Nestera. Le petit plus écologique : ces poulailles sont fabriqués en plastique recyclé, et intégralement fabriqués en Europe ! Garanti 25 ans, ces poulaillers sont nettement plus durables et résistants que n'importe quel poulailler bois, et constituent probablement l'un des meilleurs choix pour les petites basse-cour familiales.

J'ai choisi le modèle sur pieds dans sa plus grande taille, donné pour 8 poules grande race à 15 poules naines, il héberge actuellement 11 poules grande race sans aucun problème (elles dorment à 8 sur un perchoir et 3 sur l'autre, il y aurait donc même encore la place d'en rajouter deux ou trois supplémentaires !)

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Pour en savoir plus, n'hésitez pas à consulter mes vidéos sur ce poulailler grand luxe qui facilite considérablement la vie, l'entretien et l'hygiène de la basse-cour :







mercredi 12 octobre 2022

Chutney de tomates vertes

On arrive à la fin de la saison des tomates. La plupart ne mûriront plus. Certains les récoltent pour les faire mûrir à l'intérieur, en cagette avec une banane ou une pomme pour accélérer le mûrissement, ou emballées individuellement dans du papier journal... bref ! Il existe de nombreuses techniques pour faire mûrir les tomates en fin de saison, mais soyons honnête, elles ne seront jamais aussi bonnes que des tomates ayant mûri sur pied, au soleil, dans le potager.

Une autre solution bien connue consiste à utiliser ces tomates immatures pour préparer des confitures de tomates vertes, du ketchup de tomates vertes, ou du chutney de tomates vertes. Nous parlons bien ici de tomates non mûres, pas de variétés ayant une couleur verte à maturité, comme la Green Zebra ou la Moya Verte, par exemple. Il s'agit des tomates de fin de saison, celles qui ne muriront plus au potager à l'arrivée de l'automne. Ces préparations n'ont guère de succès chez moi, à l'exception des chutneys, que Chris apprécie. On m'a d'ailleurs transmis une bonne recette, délicieuse à déguster avec du fromage, des terrines ou des viandes grillées. Comme vous êtes nombreux à me demander mes recettes, bien que je ne sois pas une grande cuisinière, je partage celle-ci avec vous :

    Ingrédients :

  • 1 kg de tomates vertes (non mûres)
  • 250 g d'oignons
  • 250 g de pommes
  • 125 g de raisins secs
  • 50 g de gingembre
  • 250 g de vinaigre de vin rouge
  • 250 g de cassonade
  • 1 pincée de piment de Cayenne
  • 1 cuillère à café de Paprika
  • 1/2 cuillère à café de sel 
    
    Préparation :

Epluchez les tomates, les pommes et le gingembre, et coupez-les en dés. Pelez les oignons et émincez-les.

Utilisez une grande casserole à fond épais. Mettez-y tous les ingrédients et cuisez en remuant régulièrement jusqu’à ce que la majorité du liquide se soit évaporé. Il est important de remuer régulièrement pour éviter que la préparation accroche au fond de la casserole, et pour ne pas brûler les ingrédients.

Versez la préparation encore très chaude dans des pots en verre avec couvercles hermétiques. Fermez immédiatement et retourner le pot jusqu'à refroidissement complet.

Le chutney se conserve ainsi comme de la confiture.

    Mise en garde :

Attention ! La consommation de tomates vertes doit toujours être limitée à des petites quantités. Pour en savoir plus :



jeudi 31 mars 2022

Mon livre "Un jardin nourricier"

"Un jardin nourricier", mon dernier livre paru le 31 mars 2022 aux éditions Tana.

Du potager à la basse-cour, un guide pour cheminer vers l'autonomie alimentaire et créer son jardin nourricier.

Cachés derrière leurs haies taillées, nos jardins, qu'ils soient ruraux ou urbains, sont dotés d'un potentiel insoupçonné. Nos pelouses régulièrement tondues dissimulent des espaces fertiles et nourriciers où pourrait être produite une part importante de notre alimentation familiale grâce à un potager, quelques arbres fruitiers, une petite basse-cour et, pourquoi pas, des ruches... Avec des méthodes simples, inspirées de la permaculture, de l'agroécologie, de l'agroforesterie et du maraîchage sur sol vivant, je vous accompagne sur le chemin des jardins nourriciers et partage mes conseils pour manger toute l'année des produits frais, sains, locaux et de saison, dans le respect de l'environnement et de la biodiversité.

  • Créer un écosystème de production familiale dans son jardin en tenant compte des plantes déjà en place, en identifiant les auxiliaires du jardinier, les ravageurs et les maladies, et en améliorant la fertilité de son sol de façon naturelle.
  • Cultiver ses fruits et ses légumes de la graine à l'assiette, avec un calendrier des semis, des fiches descriptives des différentes espèces et variétés, et de multiples techniques de culture.
  • Produire ses oeufs, son miel... grâce aux petits élevages accessibles à l'échelle d'un jardin familial, avec des conseils précis pour chaque espèce, de l'habitat à l'alimentation en passant par l'incubation des oeufs, les soins à donner aux animaux ou le traitement des maladies.
  • Un suivi de l'année mois par mois pour le potager, les fruitiers, la basse-cour et les ruches.
  • Transformer et conserver les surplus de sa production grâce à des recettes et à des astuces de fabrication : bocaux de légumes, confitures, pain, produits d'entretien...

Un jardin nourricier pour cheminer vers l'autonomie alimentaire